Quel bonheur (culpabilisant) , je me réveille gentiment, dans mon lit chaud et douillet. Duveteux. La maison est calme. Super calme. Mes Zados sont déjà tous en train, sur le chemin de leur école ou du boulot. Et voilà plusieurs heures que mon Nommamoi bosse. Le pauvre (oui, j'ai un mari qui croule sous le boulot et qui est très trop matinal). Avant que vous imaginiez que je suis en train de faire la grass mat, j'aimerais juste vous spécifier l'heure : 7h. Bref, sous la chaleur duveteuse, j'essaie de ne pas penser que les autres membres de ma family sont déjà au taquet depuis un bon moment. Car je sens la culpabilité qui force le passage, et qui veut me rejoindre. NON. Pour éviter d'être écrasée par cette culpabilité typique de mère-que-je-suis, je me souviens de ce temps pas si lointain où toutes les nuits durant des années...j'ai dû me lever pour eux. Hein. Quand même. Nettoyer le vomi éjecté depuis le haut du lit à étage jusque sur l...
Maman, grand-maman... et tout l'reste...