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Affichage des articles du 2013

Une pause s'impose.

Je quitte pour un temps indéterminé le monde de la blogosphère...  ...pour passer plus de temps sur la terrosphère.   J'ai déjà l'ennui... Donc je reviendrai (DV)... Peut-être différemment... A voir... Alors jusque là je nous souhaite un Noël où nous nous n'oublierons pas QUI nous fêtons,  et de franchir une nouvelle année avec cette envie de vivre heureux, de donner, d'aimer, de sourire, de rire.  Bref pleins de ce sens de Noël... que nous aurons médité.  Et malgré tout ce qui pourrait nous en empêcher  (chaussettes qui traînent, descendance qui nous confond avec un bancomat, vomi de chat à nettoyer...). A la prochaine et merci merci de me lire toujours et encore  (même sans que je n'en sache rien, les coquins !) ! Moi PS : pour ceux qui ne savent pas ce que veut dire DV : Dieu Voulant ☺

Peurs, angoisses, etc.

Est-ce que je suis la seule à connaître ces moments où la peur, l'angoisse, une certaine forme de stress, l'imagination me terrasse ? Ce laps de temps où je ne peux plus me raisonner, ou presque, malgré que je sache pertinemment, en plus, que l'origine de cette peur est parfois  absurde,  que c'est bien souvent QUE mon imagination qui se joue de mes nerfs ? Voilà quelques exemples de situations où la peur peut facilement me submerger : Etre sur une moto, à l'arrière . Devant, mon frère. Il fait au moins du 60 km/h. L'horreur. Mon réflexe : sauter. De la moto. C'était il y a une vingtaine d'années. Je n'y suis plus retournée  (et j'ai réussi de me retenir de sauter, c'est pour ça que je suis encore là, en fait). Moi, petite assistante médicale, devoir faire une prise de sang aux grands chefs chirurgiens ou médecins. Ou à leurs épouses. Mais pourquoi, j'vous demande, pourquoi stresser pour ça ?? Je stresse tellement que j'en per

Paris. En pratique.

Nous sommes de retour. A l'heure. Crevées. Abîmées des orteils aux cuisses, mais entières.  Et fières. Yehhhh. - On ne s'est pas perdues dans les dédales souterrains du métro, tels une fourmilière, comme l'a surnommé ma fille. - On n'a pas loupé notre TGV de retour - On nous a souvent demandé le chemin, en pleine ville. (Bon, on n'a pas pu les renseigner, mais ça veut dire qu'on avait pas l'air de... touristes !!!) - On a appris plein plein de choses sur Paris, son histoire, lors de la visite guidée à vélo. C'était trop trop bien (www.parisvelosympa.com) ! - On a pu se débrouiller avec la langue (oui, bon, c'est vrai, c'est francophone aussi) - On a presque rien acheté (incroyable mais vrai, on a quasi rien ramené à part des chaussettes pour Manana 1ère et des gants pour moi !) On a bien rigolé : - Au spectacle Cher Trésor avec Gérard Jugnot - Lorsqu'un petit Ken (comme l'a surnommé ma fille) d'une quarantaine d'a

Paris. En théorie.

Aujourd'hui c'est l'anniversaire de fiston 2ème et je pars à Paris. Sans lui.  Me voilà donc présentement dans le TGV où je vis une totale new expérience : écrire un billet sur les rails à 300km/h. Non, c'est pas juste pour vivre ça que je m'en vais à Paris. J'y vais avec Manana 1ère qui fête ses 18 ans dans quelques jours. Nous voilà donc en partance pour la ville Lumière pour vivre pleins d'expériences inédites durant 4 jours. Tourisme à vélo, à pieds. Musées, spectacle(s),  shopping, flâneries dans les rues, cryptes, tombeaux des stars d'antan... ( qui ne sera j'espère pas notre tombeau... ;0b. Si on zappe l'heure de fermeture on est mal). Tout ça SANS homme ! Sans mon Nommamoi qui normalement, outre me soutenir moralement et me tenir la main, fait office de GPS, de guide... Bref voilà 20 ans que dans mes voyages hors d'Helvétie, je me repose entièrement sur lui. Mais là, inversion totale des rôles  : je l'ai laissé à

Un bouquin : Vous avez dit oui à quoi ?

J'ai lu un bouquin très chouette dernièrement sur un sujet qui intéresse bien du monde... le mariage ! Le voici :  Pour vous en mettre l'eau à la bouche, en voici quelques extraits : Un mariage basé sur le romantisme s'attache à un mensonge idéalisé  (l'amour passion) et rompt ensuite avec la réalité, dès qu'elle apparaît. Un mariage basé sur Jésus-Christ nous invite à rompre avec le mensonge (l'image idéalisée de notre conjoint) pour épouser la réalité (deux individus pécheurs qui luttent pour préserver un engagement à vie). Le défi n'est pas de continuer à aimer la personne que nous pensions avoir épousée, mais d'aimer la personne que nous avons réellement épousée. Quand nous comprenons que les êtres humains ne pourront jamais nous apporter tout l'amour dont nous avons envie et besoin, le mariage est là pour nous rappeler notre besoin de Dieu. Le christianisme ne nous ordonne pas de rechercher la bonne personne, il nous demande de le d

Ding Dong Ding Dong !!!

Lundi  Ding dong ding dong  !!! C'est l'facteur qui sonne !!! Tiens un paquet. Ahhhh, pas c'que j'espérais. Ça c'est les médicaments pour Mon Nommamoi. Mardi  Ding dong ding dong !!! C'est l'facteur qui sonne !!! Oups. Le café. De Georges. Merci l'facteur. Je lui souris. C'était vite là, j'l'ai commandé hier. Mercredi  Ding dong ding dong !!! C'est l'facteur qui sonne !!! Qui va ouvriiiiiir ? Manana 1ère : - J'y vais ! C'est p'têtre mon paquet, c'est p'têtre mon paquet... Tiens maman, un paquet d'LaPedoute... Grrr, pas encore reçu ma nouvelle coque iphone trop belle des USA. Jeudi  Ding dong ding dong !!!! C'est l'facteur qui sooooooonnne !!!! Pffff. Encore ? Mais où est l'facteur ? Ahhhh, derrière ces paquets !!!! Je le découvre, avec un sourire... ahhhhhh, je vois pourquoi : il s'attend à ça : - HIIIIIIIIIIIIIII !!!! Ce sont les chaussuuuuuuuuuuuuuures !!!!!!!! ( ne pas ou

S'attendre au miracle. A l'incroyable.

Voili voilà. Ce post pour remercier mon Nommamoi de ses efforts et prises de tête pour me faire plaisir. Nous avons déjà 19 ans de mariage bien sonnés.  19 ans de mariage, donc au moins 19 St-Valentin, 19 anniversaires,  17 fêtes des mères, sans parler des 19 Noël... Donc au moins 100 occasions de STRESS, d'ANGOISSE,  de MENINGES QUI FUMENT. Pour ma moitié. Oui. Il est encore en vie.  C'est vrai qu'après toutes ces années, on est sensé BIEN se connaître. Mon Nommamoi devrait être plus ou moins au point pour choisir les cadeaux pour moi, et commencer à tomber juste  (dans mes rêves les plus fous).  Quand même. Mais bon, les années passant. Ben... voilà. Je crois que je deviens autant stressée que lui à l'approche d'un cadeau venant de sa part. Il est vrai que je suis devenue au fil des années un peu plus compliquée à satisfaire (j'ai tout !).  Même moi, bien souvent, je ne sais même pas ce que je souhaiterais. OUI, parfois, je lui suggère d'

J'étais à un festival.

Voilà. C'était le moment à mon âge. Une première. Les concerts, j'en ai fait pas mal. Mais pas de festival. J'ai donc embarqué mari, fiston 1er, manana 1ère et une de ses amies sous le bras, sans réticence aucune de leur part. J'voulais voir ça. Et ça a bien commencé. J'étais pas la plus vieille. Ouf. Voilà, mes impressions, qui ne manqueront pas de surprendre, peut-être, les habitués des festiva ux - ls  : Ce qui m'a fortement intriguée : Recevoir des coups sur la tête bien inoffensifs au milieu d'un concert par de très très joyeux lurons, la bière reçue sur mes pantalons, le vomi arrivé subitement sur les chaussures de mon fils (il était au mauvais endroit au mauvais moment) , les préservatifs aériens, le soutien-gorges atterrissant sur la scène et restant suspendu le restant du concert au pied du micro (c'était pas les miens, de soutien-gorges et de micro) ,  le snifage malgré nous de fumée de toutes sortes surtout celle pas vraiment permi

GEEK. L'insulte suprême. Chez moi.

- Geek. T'es un geek ! Le summum de l'insulte. Actuelle. A la mode. Dans mon entourage proche. Très proche. - Geek. Geek. Geek. Quand je montre à mon frère mes trouvailles très pratiques sur l'iTruc. - C'est qu'un gros geek. Quand mon fils parle d'un pote qui est un gros fan des jeux en ligne. - T'es qu'une geek. Quand je n'écoute qu'à moitié un de mes enfants car je suis en train de lire mes mails. - Arrête un peu de geeker ! Quand je dis pour la Xe fois à fiston d'arrêter de jouer à Minecraft car il est tard et que pour la Xe fois il me dit "j'finis vite un truc". - Quel geek ! Fiston 1er à Fiston 2e quand enfin il arrive à table après avoir fini "vite un truc"... et là ça part souvent en vrille, en pas-mamours fraternels du tout... - Toi, t'arrêtes pas de geeker ! Quand Fiston 1er, 2e, Manana 1ère, 2e, voient leur père affalé sur le canapé après une journée de boulot "affalante" en train

Il s'en est fallu de peu...

Je ne sais pas si vous avez eu le courage de lire tout mon post précédent... pas très positif au premier abord disons... Pour ceux qui ne l'ont pas lu, je parlais de la vie qui est si courte. Trop courte. Et qui peut s'arrêter brutalement, ou non. Tout ça je vous le racontais sur un petit air de vacances. Je me souviens que tout en écrivant ces mots, je pensais que ça pourrait aussi nous arriver à nous. Bientôt. Qu'est-ce qu'on en sait. Personne ne sait de quoi son avenir sera fait. Je ne pensais pas si bien penser. Oui. Il s'en est fallu de peu que, pour nous aussi, notre vie s'abrège cet été. Ou qu'au moins nous vivions un gros drame. Le retour de camping s'est très bien passé. Le temps de rester 3 jours à la maison,avec au programme de la lessive et les bagages... pour partir à 5 cette fois, et pas à 6 (nous laissions Manana 1ère s'occuper de la maison, des plantes et des chats), à une Convention à 3h de route d'ici, dans le pays d&#

Camping

Notre monde n'est-il pas un vaste camping ? Je suis en vacances . Me sentant démunie après avoir lu avec avidité 7 merveilleux livres, j'ai commencé à observer où j'étais. C'était le moment. J'étais donc dans un camping . J'avais réservé moi-même, donc c'est sans surprise que j'ai réalisé que nous logions dans un bungalow. 33 m2. Pour 7 personnes  (on est complètement fou en vacances , pensais-je... quitter notre confort pour ça).  J'ai réalisé aussi que le ciel était bleu , que le soleil était là. Et qu'il faisait  chaud . Très chaud . Voilà pourquoi j'étais collante. Ok. Et j'ai commencé à regarder autour de moi. Tentes. Mobylhomes. Bungalows. Tous logés différemment nous nous côtoyons. Quelques jours. Dans les petites ruelles ça circule. Départ à la plage . Retour de la plage .  Là, je vois des jeunes fraîchement arrivés qui ont beaucoup de peine à monter leur tente. S ans aucune compassion , je ris. Là, de ma chaise longue

Les 14 commandements de mon été à moi

 (un pour chaque jour de mes vacances) Petit exercice pratique de 2 minutes avant de le faire en vrai ! 1. La plage, les vagues et le sable j'apprécierai  Ah ben oui... en pensant 1/4 de seconde à ceux qui continuent de bosser 2. Dans la mer m'y baignerai  Entièrement même si c'est en-dessous de 25°C 3. Chaque poil traquerai  Je parle des miens seulement... bien sûr 4. Ma Bible je méditerai  Même si c'est bizarrement plus difficile de prendre le temps en vacances... 5. Aux écrans me désintoxiquerai  I-Phone éteint. Point. Aïe. Challenge. 6. L'heure qui tourne oublierai  Petit truc, ne pas mettre ma montre. Na. 7. Grasse matinée je ferai Jusqu'à 9h = grass mat ! 8. Le temps pour ma famille je prendrai Pour jouer à des jeux de société, rigoler, faire la folle et glander 9. Sur le ménage mes yeux fermerai Ou je mettrai les enfants sur le coup 10. Photos de famille je ferai  Matin-soir à la plage, en gérant les récalcitrants-râleurs-pas-mot

Moi : boulot. Eux : vacances. Ou : une histoire de mammouths.

Me voilà tiraillée. Ecartelée. Dans les tripes. Là. Bien au fond. Dans le tréfonds de moi.  C'est les vacances. Tant attendues. Mais pas les miennes. Juste celles de mes enfants. De mes trois petiots. Mon aînée, pas de vacances. Mon mari, pas de vacances. Moi, pas de vacances. Bien au contraire. Déjà que ça m'était dur de laisser mes petiots seuls 1 heure ou 2 à la maison quand je travaille et quand ils ont l'école  (mais je m'y suis fait voyant leur joie d'être... sans moi) , là je les laisserai seuls, quand moi je remplacerai en partie une collègue qui a bien besoin de ses vacances (après, c'est moi. Na). Ce qui augmentera mon taux d'absence de la maison de 2 à 3 jours par semaine. Eh oui, dans un hôpital, y a toujours du boulot. C'est comme ça. Me voilà donc écartelée. Tiraillée. Pas bien dans moi. Et j'analyse. J'analyse ce fait. Pourquoi, moi, je le suis ? Et pas mon homme, laissant seuls lui aussi ses, tout-autant-les-siens-que-les-m