Accéder au contenu principal

Articles

Affichage des articles du août, 2010

Une bonne p'tite soupe à la limace ça vous va ?

L'autre jour, la pluie aidant, mes p'tits  gars s'ennuyaient. Tiens tiens, bizarre bizarre. Mais un regard sur ma terrasse, m'a donné une idée de génie (ce que j'ai régulièrement ). Et oui, ce matin-là  où que mon regard se posait (un peu comme le jour de l'anniversaire de ma fille), il voyait des limaces. Disons que les invités de l'anniversaire de ma fille ont été remplacés par... des limaces pour être plus précise. Sur le sol, sur les bancs, dans le gazon, se régalant de mes dernières  fleurs (ça les invités ne l'ont pas fait). Partout y en avait. Alors  voilà : "Allez les enfants, vous pourriez aller ramasser ces limaces" . Waouh ! J'vous épate là, ouais. Et devant leur motivation phénoménale, j'ajoute pleine d'enthousiasme : " Vous prenez une pelle, un seau, on les compte et..." voyant qu'ils ne changeaient toujours pas d'attitude et faisaient la sourde oreille "...  vous recevrez des p'tits sous&

Nous pouvons choisir...

Toutes nos bonnes intentions ne suffisent pas; des erreurs, nous en ferons toujours. Même avec beaucoup d'argent et d'influence nous ne pourrons nous procurer les choses qui comptent vraiment dans la vie. Dieu doit toujours passser en premier, alors tout rentrera dans l'ordre. A la fois puissant et miséricordieux, il peut nous changer et nous pardonner. Nous avons le choix de vivre avec ou sans Dieu. De ce choix dépendra tout le déroulement de notre vie; et la façon dont nous viendrons à bout de nos circonstances quotidiennes. d'après Ulrich Schaffer

Petits hommes deviendront grands...

Et oui, c'est ce que je me dis quand je vois mes garçons. Ils deviendront grands... et il faudra qu'ils soient au top niveau. Entre autre concernant leur future femme. Ben oui. Par exemple hier, nous sommes allés renouveler la garde-robe (?!) de mes p'tits hommes. Leur père étant absent, ils savaient à l'avance qu'ils n'auraient pas le choix, ils devraient nous suivre, nous, les femmes. Ils seront donc dans l'impossibilité de fuir avec papa regarder des magasins d'Homme (avec un grand H). Bon, par chance pour eux, moi-même j'étais pas super motivée d'aller faire les mags. Étrange. Avec l'âge on change. Tandis que mon aînée de fille ne rêve que de ça, genre vivre dans un centre commercial 24h/24h. Bref... revenons-en, à nos moutons. Ben mes moutons, euh, mes tiz'hommes justement, ils nous ont suivis, d'abord traînant la patte. Tellement de monde dans les cabines, qu' ils ont même dû montrer leurs pectoraux au milieu du magasin, pou

Anniversaire, et de un !

Hier , c'était le premier anniversaire de l'année d'un de mes enfants. J'ai pas trouvé mieux d'avoir des enfants tous de la même période, entre fin août et mi-décembre. Sans parler de mes neveux-nièces, qui sont quasi tous nés dans ces mois eux aussi. Bref, la saison des anniversaires a débuté dans nos familles. Et, comme chaque fois, j'organise une fête avec leurs copains-copines... puis avec la famille. Le jour J, c'est toujours avec la famille. Je vais m'étaler aujourd'hui, sur ce fameux jour qui en fait, a eu lieu hier. Vous suivez ? D'abord , quelques semaines avant, je fixe la date et j'envoie aux intéressés un mail ou sms pour qu'ils réservent la date et l'heure. Mais auparavant , donc encore  des semaines plus tôt, l'enfant en question commence de rêver de ce jour. Sa  liste comprenant tous ses voeux réalisables ou non est déjà faite, au propre, à l'ordinateur. Quelques exemples : MP3 quand ils ont en déjà un. Playsta

Parfois... j'ai la honte

Oui... et elle me submerge (j'ai envie de me cacher sous mon duvet et de ne plus en ressortir)  quand j'ai réalisé que : - ma langue est allée plus vite que mon ombre... euh ! que mes pensées, et a raconté des choses qu'elle ne devait pas (avec mon accord !) - elle a critiqué certaines personnes devant d'autres - elle a jugé sans savoir vraiment ce que les autres vivent (impossible de se mettre complètement à la place des autres !) - elle a dit des paroles qu'il aurait mieux valu retenir, car 1 elles ne sont parfois pas vraiment le fond de ma pensée, mais juste l'expression d'un sentiment sur le moment et 2 parfois elles sont vraies mais elles font du mal à l'autre. Facile de dire "elle", mais "elle" c'est moi ;-) ! Telle ou telle parole sort de ma bouche, soit c'est selon ce que je sais et j'aurais mieux fait de me taire, soit elle dépasse ma pensée, soit c'est vraiment ce que je pense et c'est pas du joli jol

Les araignées... et moi !

Il y a quelques jours je gardais mes 2 nièces de 2 et 5 ans.... nous faisions une p'tite "cabane" sous un arbre dans notre jardin, et elles n'acceptaient pas le fait qu'il y ait des toiles d'araignées accrochées au branche :"Dans ma cabane, il ne doit PAS y avoir de toiles d'araignées" que la grande me disait avec assurance ! Elles en ont fait des grimaces de toutes sortes en les voyant. Ça m'a fait rire ! Je devine aisément que leur maman ne doit pas aimer trop les araignées non plus. Et bien moi aussi, j'ai été élevée par une maman anti-arachnide. Ben oui. Brusquement et sans crier gare, des cris fusaient dans notre maison, et on savait en général le pourquoi : une de ses bestioles pleines de pattes traînait quelque part. Si mon papa n'était pas dans les parages, c'est armée de son aspirateur que mon aventurière de maman leur fonçait dessus... (euh, est-ce qu'elles survivent au sac de poussière et ressortent par le tuyau pa
Rire, c'est risquer de paraître idiot. Pleurer, c'est risquer de paraître sentimental. Aller vers quelqu'un, c'est risquer de s'engager. Exposer ses sentiments, c'est risquer d'exposer son moi profond. Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retour. Espérer, c'est risquer de désespérer. Essayer, c'est risquer d'échouer. Celui qui ne risque rien ne fait rien, n'a rien, n'est rien. Il peut éviter la souffrance et la tristesse mais il n'apprend rien, ne ressent rien, ne peut ni changer, ne se développer, ne peut ni aimer, ni vivre. Enchaîné par sa certitude, il devient esclave, il abandonne sa liberté. Seuls ceux qui risquent sont libres.                            Auteur inconnu

L'épilation... le verdict actuel

Je vous imagine très nombreuses et très impatientes de savoir le verdict de mes dernières expériences épilatoires. Uhm uhm... :o) La dernière fois que je me suis étalée sur le sujet (29 juillet, libellé Mon épilateur), je venais de terminer l'épilation de mes demi-jambes avec la cire chaude. J'étais assez satisfaite. Mais à peine 1-2 jours après GRRRR  c'est avec colère, oui, je dis bien colère, que j'ai vu l'état fringant de beaucoup beaucoup trop de survivants. J'ai donc contre-attaqué, rageuse, avec.... uhm les bandes de cire froide. Résultat : catastrophique. Donc, j'étais très fâchée après coup (oui, avant, pendant, après, toujours...). Je disais des mots comme "ça m'énerve, j'en ai marre, franchement, j'en ai marre de ces poils... quelle calamité ." Je me souviens d'un de mes séjours en Afrique quand j'étais jeune "vingtenaire" et que mes amies ivoiriennes m'écoutaient avec effarement quand je leur disais q

Mais où sont donc passés mes ciseaux ?

Avez-vous aussi dans votre famille des problèmes de disparition de ciseaux, ou c'est que chez moi ? Me voilà donc depuis quelques jours à avoir la merveilleuse opportunité de recouvrir cahiers, livres et classeurs (ça je n'ai toujours pas compris pourquoi) . Et, vu que je suis en plein dedans et presque motivée... allez, hop , dans la même foulée je recouvre quelques nouveautés pour la bibliothèque de l'église. Mmmmh... moui, tout y est, papiers de couleurs, étiquettes, scotch, papier autocollant. Ok... euh. Il manque les indispensabilissimes ciseaux. Je me lève donc, m'apprête à les prendre à leur place habituelle, à la cuisine, pièce centrale de la maison  (et vitale pour beaucoup où se trouve L'OBJET  le plus important pour certain, le FRIGO. Uhm... je m'égare). Mais ma main se referme sur.... du vide. OK. Restons caaaaalme. Je devrais encore avoir l'autre paire que j'ai cachée exprès dans ce tiroir. Rien. Bon, je file dans la pièce du bureau. Niet.

Je suis une rareté !

Et ça devrait être une merveilleuse nouvelle gratifiante... cela a été plutôt un p'tit choc. Oui, s'il y a une chose que j'ai vraiment réalisé durant ces vacances, c'est que je suis une denrée... rare. Enfin, jusqu'à il y a 1-2 ans, ça ne me gênait pas le moins du monde. Du tout. Mais plus mes enfants grandissent, plus j'approche de la quarantaine, plus j'ai l'impression qu'ils ont leur vie à eux et que je suis surtout là pour l'intendance de la maison (!) , plus c'est un besoin pour moi d'avoir aussi ma vie à moi en dehors de mon foyer... et ça s'appelle peut-être la crise de la quarantaine... ;)  Voilà de + en + souvent ce que j'ai l'impression d'être...  ! 1. Bon... tout d'abord un article lu dans un magazine suisse... a ouvert mes yeux sur mon état de mère exceptionnelle ! " En Suisse, 1 femme sur 5 est mère au foyer à plein temps". Quoi ? Je fais partie des 20% de mères qui n'ont AUCUN travail

Une journée en ville !

Voilà plusieurs semaines que je me réjouissais de mercredi passé. J'ai eu bien raison. En fait, on avait prévu avec une amie vivant dans une grande ville helvétique de se voir, profitant de l'absence de presque tous nos enfants  sauf nos aînées (elle en a 4 aussi), et de nos maris pour se voir, se balader en ville, et tchatcher tchatcher entre femmes. Salomé et moi avons pris le train. Sympa le train. Depuis 1 an, je suis fière de posséder l'abo demi-prix, plus la Carte Junior pour nos enfants, ce qui nous permet de voyager pas cher et sans stresssss. Ou presque. Comme vous le verrez plus loin. DONC, c'est avec joie que Salomé et moi embarquons. Je pense que je vieillis, car c'est bien la première fois que, étant assise dans le sens contraire de la marche du train, je n'ai pu lire mon roman (quelle frustration) car j'avais le mal de mère, euh, de mer, et que j'ai du "faire mon ado" en inaugurant les écouteurs de mon i-phone. Ainsi je pouvais

Le sport et moi...

Est-ce que ça vous est déjà arrivé de revivre les mêmes émotions de votre enfance-adolescence ? De vous retrouver à nouveau tout petit, tout minuscule ?  Moi oui... et franchement, ce moment n'était pas vraiment agréable, car je ne me suis pas retrouvée avec des émotions enfantines positives (confiance en la vie qui à l'air infinie, rien de grave ne peut m'arriver papa-maman sont près de moi). OUI , comme dans un flash (le flash a quand même éclairé un bon moment), je me suis retrouvée... aux leçons de gym, les jambes flageolantes, tremblantes, une petite angoisse au-dessus de l'estomac  (chez moi elle est là). Argghhhh, rien que d'en parler j'ai mes poils (des avant-bras, pas des avant-jambes, d'ac ?) qui s'hérissent ! Cela s'est passé à notre super camp famille. J'ai su quelques jours avant le jour J qu'un grand tournoi sportif aurait lieu. Et ce jour est arrivé (j'espérais toujours un retournement de situation, j'sais pas moi...

Mon mari est regardé comme une bête curieuse...

...par les hommes en particulier, et ceci, depuis notre rentrée de vacances. Ben oui. Et pourquoi cela, vous m'd'mandez ? Ben... parce qu'il a eu le courage, que dis-je, a fait l'exploit incommensurable pour un homme avec un grand H de son acabit, de participer à un CAMP FAMILLE ! OUI ! Rendez-vous compte ? Impressionnant non ? Oui, je sais, j'ai un mari en or ! Mais figurez-vous que j'ai dû faire preuve d'une persévérance sans faille depuis... uhm... 10 ans. C'est-à-dire la première fois que j'ai entendu parler de l'existence de ce genre de camp.  Depuis, chaque année je remettais ça sur le tapis !! Et mon mari, ben... bof, quoi. Et puis voilà, j'ai réussi, enfin.Comme quoi, la persévérance et la têtutesse paient. Parfois. Nous sommes rentrés samedi, reposés, en forme, décontractés, heureux de cette semaine pleine de rires, de partages, de joie et les yeux pleins des beaux paysages de la Drôme Provençale, et les valises pleines de souvenirs