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Affichage des articles du mai, 2012

Pas une femmelette, fiston 1er !

Mon ado de 14 ans n'est pas une femmelette. Il me l'a dit. Plein de fois. Me l'a assuré à maintes reprises ces dernières semaines : Moi : - Attention en vélo ! Lui : - J'suis pas une femmelette Moi : - Tu ne te perdras pas j'espère ! Lui : - J'suis pas une femmelette Moi : - C'est pas trop lourd ce carton ? Lui : - J'suis pas une femmelette Moi : - Tu vas trouver ? C'est rangé là, au fond du grenier ? Lui : - J'suis pas une femmelette ! Mais depuis peu, il ne le dit plus. Fertig. Moi : - Simon, tu peux mettre la table ??? Lui : - Ohhhhh, mais là j'ai des devoirs ! Moi : - T'es pas une femmelette ou bien ? Moi : - Simon, tu peux me porter tout ça à la cave ? Lui : - Ohhhhhhh, tout ça ??????!!!! Moi, avec un grand sourire : - Tu n'es pas une femmelette ? Rassure-moi ! Moi : - Simooooooooonnn ! Viens ranger ta chambre !!!! Moi : - Simoooooooon ! Viens ranger ta chambre !!!! Moi : - Simmmoooooooon !!!! Ta chambre, je

Plus le temps...

J'en ai plus. Presque. A  courir  à gauche, à droite. Je me réjouis du moment de libre que je vois pointer tout là-bas, mais quand j'y suis enfin je reste couchée sur le canapé, à ne plus pouvoir bouger un seul orteil. Tout en pensant à tout ce que j'aimerais faire, mais je ne peux plus bouger. Frustrant ! Veux pas que ça dure moi !!!! Car quand j'ai un programme dans ma tête, je veux le tenir, contre vents et marées ! Maintenant que je travaille à 40%, depuis 2 petites semaines... j'ai l'impression de  courir sans fin  : ménage-boulot-repas-devoirs-remplir le frigo-dormir-prendre un livre  (enfin!)  et tomber aux premières pages... Je sais. Je suis en période d'adaptation et les quelques neurones un peu frais qui me restent là-haut souffrent  de ce changement de régime. Je sais. Malgré l'augmentation de mon taux de travail, du changement de secteur,  je n'ai rien laissé tomber de mes différents engagements à gauche à droite. Mais là. Ça va cha

Oh non ma tresse !!!

Je suis assez fière de la tresse que je fais. Elle est bonne. En général, je reçois pas mal de compliments grâce à ma tresse . Mais jamais sur le look de ma tresse . Car franchement, j'en soigne pas trop l'extérieur. De ma tresse . J'aime pas trop sacrifier un jaune d'oeuf durement pondu par Madame la poule juste pour qu'elle sorte toute dorée du four (la tresse , pas la poule) . Je ne suis non plus pas trop douée pour la tresser . Jamais pu avec 2 brins, je la fais avec trois. Ce qui compte pour moi c'est que ça soit simple.... mais bon. Et pis de toute façon, hein, dans notre estomac ça revient bien au même si elle a été belle avant ou non. Bref. Elle n'est pas parfaite. Mais goûteuse. L'autre jour on m'a demandé d'amener une tresse à une rencontre d'une quarantaine de personnes. Ben ouais. Forcément. MA tresse . Ok j'ai dit. Le matin même je s tresse d'un coup pour MA tresse . Un p'tit rajout à mon programme chargé

Deux-trois points à éclaircir d'urgence !

Je suis impressionnée par toutes les humains non Facebookiens (oui, ça existe encore, j'en ai rencontré !) stressés par ma toute nouvelle page Facebook "Blog Méli-Mélo de Moi", à l'idée qu'ils ne pourront plus lire mes posts (une de mes lectrices assidues vient de me démontrer que je m'étais mal exprimée en fait dans un de mes derniers posts... alors toutes mes excuses à chacun/e !): - MAIS C'EST FAUX !!! Pour les non-adeptes à ce monde parallèle qu'est Facebook, rien ne change pour vous , mais rien de rien du tout !!! Pour ceux qui sont abonnés par mail non plus. OK ? - Pour mes amis Facebookiens qui le désire, ils ont avantage à aimer ma page Facebook (!) pour avoir sur leur mur mes posts tout beaux tous neufs ( les non facebookiens, n'essayez pas de comprendre, car je le répète rien, rien de rien ne change pour vous, OK ?)... pour cela, il faut passer votre souris sur le "machin"FACEBOOK bleu qui se promène sur mon blog à droite

Ils m'échappent...

Oui, je commence vraiment de plus en plus souvent à avoir le sentiment que ma progéniture m'échappe . Celle dont je m'occupe depuis des années, celle qui m'épuise, qui me fait rigoler, qui m'énerve, celle par laquelle j'ai ressenti le plus de douleur physique (vous vous souvenez, là, ce temps lointain où j'ai dû l'expulser de mon corps, heureusement 1 bb à la fois ?) et  psychique (si elle va mal, si sa façon d'être m'écrase, me désespère, me laisse sans force). Mais aussi grâce à qui j'ai vécu les jours les plus beaux (quand enfin j'ai pu tenir mes p'tits miracles dans mes bras, quand je suis si fière d'elle). Oui, celle-là même qui me donne les plus belles joies, et les plus grandes angoisses. Elle m'échappe. Je pensais pas que ça irait si viiiiiite !!!!  Et même si c'est dans l'ordre des choses, à ce qu'il parait, ben...  MOI VEUX PAS !!!! Ils m'échappent... Je n'ai plus le contrôle sur tous l